Ce dimanche matin à la radio on annonçait un temps nuageux et des averses possibles. En regardant la webcam du Semnoz on voyait les aiguilles d'Arves !
En fait l'amélioration était bien là et le soleil nous a accompagné toute la journée.
C'est donc avec un petit effectif de 7 dont 6 dames que nous prenons la direction d'Albertville puis le départ de la route du col de la Madeleine. Nous nous dirigeons ensuite vers Pussy et
Nécuday pour le départ au lieu dit les Foyères.
Le circuit prévu est dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Le sentier a bénéficié d'un nouveau balisage moins aléatoire que le précédent. Le chemin coupe le sentier d'alpage par de
nombreux raccourcis et nous amène à Montagne d'en Bas puis Montagne d'en haut ou une vaste clairière se découvre avec une tourbière et un petit lac.
Nous rencontrons des chasseurs qui on fini leur matinée avec un sanglier et un cerf comme résultat. Nous ne verrons que le sanglier, voir un cerf abattu aurait laissé une image un peu triste même
si ils sont trop nombreux dans certains secteurs. Nous nous approchons du point haut de la rando et le massif du Grand Arc apparaît bientôt coté nord.
Encore quelques centaines de mètres et nous arrivons au col de l'Arc.
En face de nous le mont Bellacha, sommet le plus oriental du massif de la Lauzière. On peut y accéder de ce coté mais le plus agréable consiste à partir du coté sud, ce qui réduit le dénivellé
(900 m) avec un parcours plus varié. On peut partir coté Montsapey mais c'est encore moins sympa.
Il est un peu plus de midi, normalement on peut profiter du pique nique pour apprécier la vue les hauts sommets allant du Mont Pourri au glacier de la Vanoise, mais il y a encore de la nébulosité
résiduelle.
Vers 13 h nous amorçons la descente sur la rive gauche du torrent de Pussy avec les couleurs d'automne des feuillus qui commencent à être bien dégarnis.
Vers 15 h nous sommes au point de départ, le pot sera pris à la base de loisirs de Marlens.
En résumé: 730 m de dénivellé pour 10 km et 5h tout compris.
Photos Marie Claude B. Claudine et moi même.